Houlà... Ca fait longtemps, hein ?
'Lu les nouilles !... Comment vous allez bien depuis les vacances ? Moi ça va bien, la routine reprend, quoi ! J'ai retrouvé mes zhyènes, ainsi que Mister TC, Bernadette, Mme B-Bégaye, la prof-d'-Anglais ainsi que tout ceux que vous ne connaissez pas encore. Enfin, ça dépend qui vous êtes, évidemment, parce que si vous êtes à l'école à Loverval, il y a beaucoup de chance pour que vous les connaissiez, même sans le savoir ^__^ Et ô grand malheur, Monsieur Canon est partiiiiiiiiii !!!!! La vraie prof du vrai cours d'histoire est revenue. Scusez, c'est l'émotion, je m'embrouille. Je disais donc : La prof d'histoire, bien que toujours aussi enceinte, est revenue pour le plus grand malheur de tous les anciens de ma classe de l'année passée (sauf Titi qui ronchonnait quand Canon nous donnait cours). Le seul avantage qu'elle aie, c'est d'être visiblement enceinte jusqu'aux oreilles, nous laissant ainsi l'espoir mince mais présent de la voir partir avec joie en congé maternité bien mérité. Et je fais des rimes pour la frime. Donc voilà. Pour votre information, l'Enceinte est encore plus chiante que le Canon, ce qui n'est pas peu dire pourtant. Pour le restant des vacances, j'ai rien grand chose à raconter, si ce n'est que je suis élue au conseil de jeunes de mon bled. J'ai cru me pisser dessus quand ils ont annoncé les résultats, honte à moi. Par bonheur, 'me suis retenue de justesse. Là, on est mercredi, j'ai donc... Houlà ! Tout ça ! à raconter. Looooooong. Trop long, je vais abréger. Arrivée à la school et pi très calme jusque 10h. Là, les élèves de 3e en option Latin (les Latins, quoi) sont partis en excursion avec le prof de Grec, qui est aussi accessoirement leur prof de Lapin, comme il le dit si bien. Il fait de ces lapsus, parfois lui... Je récapepete les facettes du soi-intérieur de m'sieur TC : Il est -Misogyne -Obsédé -A langue qui fourche assez souvent -Violent (balance de la craie sur les élèves, sisi je vous jure, hein Sara ?!) -Emm***eur (et vi...) -Pas capable d'écrire "intérêt" correctement. Et je garde le meilleur pour la fin : Mi-gnon !!!! Donc voilà. Y en a qui ont du bol, quand même. Ou pas de bol, ça dépend comment on voit les choses. Sinon, pas grand chose cette semaine là. Ca se corse à partir du vendredi, qui est un jour ô combien sacrée : l'Armistice, et accessoirement jour de congé. Et veille de l'anniversaire de l'espèce de cinglée qui écrit cet espèce de texte en ce moment même. Et aussi départ pour la capitale de notre cher pitit pays, avec direction l'appartement de ma frangine chérie. En effet, non seulement je suis folle à lier, mais en plus il en existe encore une comme moi... en pire. Difficile à imaginer, dites-vous ? Essayez quand même... Donc, je vais chez Soeurette (Soeurette qui a bien sûr seize bonnes années de plus que moi) passer le week-end. Au programme : shopping, shopping, concert, préparation de soupe, et soirée télé. Quoi de cinglé dans tout celà, me direz vous ? Eh bien... Le fait peut-être qu'on était les trois soeurs (oui, il y en a une encore une !!! c'est la plus grande, celle qui a fait de moi une tatie comblée et aimée de son neveu. Si vous saviez à quel point c'est drôle de changer des couches...) ensemble. Les trois terreurs au centre commercial. Heureusement, sans la dernière génération familliale -j'ai nommé Bruno, le fiston à la Soeurette n°2- qui aurait, dans ces circonstances festives, réussi à flanquer le cafard à sa mère. En soirée, concert de Tryo à Forest National. EXTRA ! Tellement extra que je ne trouve pas les mots. Deux heures de pur bonheur. En rentrant de ce week-end, autant vous dire que j'ai dormi comme une marmotte au cours de Français. Autant dormir dans les moments ennuyeux, ils passent plus vite. Sinon, rien de spécial jusqu'à jeudi passé. Oui, je vais vite, mais bon... Comment voulez vous que ma petite mémoire gruyère retienne tout ça ? Comme si 'en avais déjà pas assez avec les examens qui approchent ! Jeudi. En journée, rien à signaler. Je pense que c'est ce jour là qu'on a parlé du pape au cours de grec, mais passons. Au soir, Bruno débarque comme une tornade à la maison, le seul ennui étant que j'ai pris frois, moi, dans la tornade. J'ai un bon rhume. Et le vendredi, je ne vais donc pas à l'école, logique logique. Seulement, au soir, je dois prêter serment au conseil consultatif des jeunes de la ville, moi. J'y vais quand même, tant pis, en me mouchant quand les gens applaudissent le bourgmestre et son discourt. J'espère que je me suis pas trop fait remarquer. Et samedi, fête de Saint Nicolas de l'amicale où mon papounet est secrétaire. Résultat des courses : j'ai fait la barmaid tout l'aprem, et je dois dire que c'était assez sympa. Je pense que c'est tout... Lundi, théâtre, comme d'hab. C'est fou ce qu'on en apprend sur les gens, à ce genre d'activités. Par exemple, j'ai découvert hier qu'Antoine faisait une fixette sur les longs cheveux, et que donc il arrête pas de chipoter dans les miens (enfin, ça je le savais déjà). Je crois que je pourrais écrire un livre rien que sur les ateliers du lundi. En rentrant, c'était par contre nettement moins drôle. Mon subconscient à trouvé une excuse débile, comme tout les mois, pour me faire sortir ma petite crise de larmes mensuelle. C'est pas souvent, mais ça fait du bien, même si c'est parce que j'avais décidé que je ne voulais pas apprendre mon texte de Français. Débile, n'est-ce pas ? Le subconscient de la femme-ayant-ses-petites-affaires est ainsi fait : dès qu'un petit truc est contrariant, on s'assied par terre et on pleure. Sympa, non ? Toujours est-il que ça m'a remis les idées aproximativement à l'endroit. Et hier, enfin, rien à signaler... Je suis allée chez une copine avec qui je dois présenter un film en oral de Français, pour voir le film en question. Film par ailleurs très moche, en noir et blanc. Grooooos délire avec le frère de la fille en question, qui m'avait déjà parlé au téléphone la veille (après avoir arraché le sus-nommé téléphone à sa soeur pendant une de nos conversations). En fait, au lieu de parler, il avait plutôt fait des bruits digne d'un film porno dans le téléphone. Je vais finir par croire que le cerveau des gens hiberne en dessous de leur ceinture, vraiment. Par exemple : pour le cours de théâtre, Véra (la prof) avait amené un balai comme accessoire, et Damien a joué avec pendant tout le début du cours. J'ai donc logiquement dit à Véra que "Damien jouait encore avec son balai" quand on a commencé le cours. Et elle a relevé, pensant que j'avais l'esprit mal tourné alors que c'était elle qui l'avait. Vous suivez ? Tout ça pour dire que la majorité des gens ne pensent qu'aux... choses de la vie, quoi. Enfin bref, le monde est obsédé. Sur ce, je vous laisse méditer là dessus. Grooooos kizous mes nouillettes... Marie