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Marie

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30 novembre 2005

Houlà... Ca fait longtemps, hein ?

'Lu les nouilles !...

Comment vous allez bien depuis les vacances ?

Moi ça va bien, la routine reprend, quoi !

J'ai retrouvé mes zhyènes, ainsi que Mister TC, Bernadette, Mme B-Bégaye, la prof-d'-Anglais ainsi que tout ceux que vous ne connaissez pas encore. Enfin, ça dépend qui vous êtes, évidemment, parce que si vous êtes à l'école à Loverval, il y a beaucoup de chance pour que vous les connaissiez, même sans le savoir ^__^

Et ô grand malheur, Monsieur Canon est partiiiiiiiiii !!!!! La vraie prof du vrai cours d'histoire est revenue. Scusez, c'est l'émotion, je m'embrouille.

Je disais donc : La prof d'histoire, bien que toujours aussi enceinte, est revenue pour le plus grand malheur de tous les anciens de ma classe de l'année passée (sauf Titi qui ronchonnait quand Canon nous donnait cours). Le seul avantage qu'elle aie, c'est d'être visiblement enceinte jusqu'aux oreilles, nous laissant ainsi l'espoir mince mais présent de la voir partir avec joie en congé maternité bien mérité. Et je fais des rimes pour la frime.

Donc voilà. Pour votre information, l'Enceinte est encore plus chiante que le Canon, ce qui n'est pas peu dire pourtant.

Pour le restant des vacances, j'ai rien grand chose à raconter, si ce n'est que je suis élue au conseil de jeunes de mon bled. J'ai cru me pisser dessus quand ils ont annoncé les résultats, honte à moi. Par bonheur, 'me suis retenue de justesse.

Là, on est mercredi, j'ai donc... Houlà ! Tout ça ! à raconter. Looooooong. Trop long, je vais abréger.

Arrivée à la school et pi très calme jusque 10h. Là, les élèves de 3e en option Latin (les Latins, quoi) sont partis en excursion avec le prof de Grec, qui est aussi accessoirement leur prof de Lapin, comme il le dit si bien. Il fait de ces lapsus, parfois lui... Je récapepete les facettes du soi-intérieur de m'sieur TC : Il est

-Misogyne

-Obsédé

-A langue qui fourche assez souvent

-Violent (balance de la craie sur les élèves, sisi je vous jure, hein Sara ?!)

-Emm***eur (et vi...)

-Pas capable d'écrire "intérêt" correctement.

Et je garde le meilleur pour la fin : Mi-gnon !!!!

Donc voilà. Y en a qui ont du bol, quand même. Ou pas de bol, ça dépend comment on voit les choses.

Sinon, pas grand chose cette semaine là. Ca se corse à partir du vendredi, qui est un jour ô combien sacrée : l'Armistice, et accessoirement jour de congé. Et veille de l'anniversaire de l'espèce de cinglée qui écrit cet espèce de texte en ce moment même. Et aussi départ pour la capitale de notre cher pitit pays, avec direction l'appartement de ma frangine chérie. En effet, non seulement je suis folle à lier, mais en plus il en existe encore une comme moi... en pire. Difficile à imaginer, dites-vous ? Essayez quand même...

Donc, je vais chez Soeurette (Soeurette qui a bien sûr seize bonnes années de plus que moi) passer le week-end. Au programme : shopping, shopping, concert, préparation de soupe, et soirée télé. Quoi de cinglé dans tout celà, me direz vous ? Eh bien... Le fait peut-être qu'on était les trois soeurs (oui, il y en a une encore une !!! c'est la plus grande, celle qui a fait de moi une tatie comblée et aimée de son neveu. Si vous saviez à quel point c'est drôle de changer des couches...) ensemble. Les trois terreurs au centre commercial. Heureusement, sans la dernière génération familliale -j'ai nommé Bruno, le fiston à la Soeurette n°2- qui aurait, dans ces circonstances festives, réussi à flanquer le cafard à sa mère.

En soirée, concert de Tryo à Forest National. EXTRA ! Tellement extra que je ne trouve pas les mots. Deux heures de pur bonheur.

En rentrant de ce week-end, autant vous dire que j'ai dormi comme une marmotte au cours de Français. Autant dormir dans les moments ennuyeux, ils passent plus vite.

Sinon, rien de spécial jusqu'à jeudi passé. Oui, je vais vite, mais bon... Comment voulez vous que ma petite mémoire gruyère retienne tout ça ? Comme si 'en avais déjà pas assez avec les examens qui approchent !

Jeudi. En journée, rien à signaler. Je pense que c'est ce jour là qu'on a parlé du pape au cours de grec, mais passons. Au soir, Bruno débarque comme une tornade à la maison, le seul ennui étant que j'ai pris frois, moi, dans la tornade. J'ai un bon rhume. Et le vendredi, je ne vais donc pas à l'école, logique logique. Seulement, au soir, je dois prêter serment au conseil consultatif des jeunes de la ville, moi. J'y vais quand même, tant pis, en me mouchant quand les gens applaudissent le bourgmestre et son discourt. J'espère que je me suis pas trop fait remarquer.

Et samedi, fête de Saint Nicolas de l'amicale où mon papounet est secrétaire. Résultat des courses : j'ai fait la barmaid tout l'aprem, et je dois dire que c'était assez sympa.

Je pense que c'est tout... Lundi, théâtre, comme d'hab. C'est fou ce qu'on en apprend sur les gens, à ce genre d'activités. Par exemple, j'ai découvert hier qu'Antoine faisait une fixette sur les longs cheveux, et que donc il arrête pas de chipoter dans les miens (enfin, ça je le savais déjà). Je crois que je pourrais écrire un livre rien que sur les ateliers du lundi.

En rentrant, c'était par contre nettement moins drôle. Mon subconscient à trouvé une excuse débile, comme tout les mois, pour me faire sortir ma petite crise de larmes mensuelle. C'est pas souvent, mais ça fait du bien, même si c'est parce que j'avais décidé que je ne voulais pas apprendre mon texte de Français. Débile, n'est-ce pas ? Le subconscient de la femme-ayant-ses-petites-affaires est ainsi fait : dès qu'un petit truc est contrariant, on s'assied par terre et on pleure. Sympa, non ?

Toujours est-il que ça m'a remis les idées aproximativement à l'endroit.

Et hier, enfin, rien à signaler... Je suis allée chez une copine avec qui je dois présenter un film en oral de Français, pour voir le film en question. Film par ailleurs très moche, en noir et blanc. Grooooos délire avec le frère de la fille en question, qui m'avait déjà parlé au téléphone la veille (après avoir arraché le sus-nommé téléphone à sa soeur pendant une de nos conversations).

En fait, au lieu de parler, il avait plutôt fait des bruits digne d'un film porno dans le téléphone. Je vais finir par croire que le cerveau des gens hiberne en dessous de leur ceinture, vraiment. Par exemple : pour le cours de théâtre, Véra (la prof) avait amené un balai comme accessoire, et Damien a joué avec pendant tout le début du cours. J'ai donc logiquement dit à Véra que "Damien jouait encore avec son balai" quand on a commencé le cours. Et elle a relevé, pensant que j'avais l'esprit mal tourné alors que c'était elle qui l'avait. Vous suivez ?

Tout ça pour dire que la majorité des gens ne pensent qu'aux... choses de la vie, quoi.

Enfin bref, le monde est obsédé.

Sur ce, je vous laisse méditer là dessus.

Grooooos kizous mes nouillettes...

Marie

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1 novembre 2005

Ma semaine... Ben vi, je vais pas écrire tout les jours, j'ai pas le temps !

C'est les VACAAAAAAANCES !!!!

Ô joie, ô bonheur.
Nous sommes le mardi 1er novembre, il est 13h35, je chique de la réglisse, en me demandant ce que je vais bien pouvoir vous raconter.
J'ai plus écrit depuis le 25, honte à moi. Le 25 était un mardi, il est donc normal que je raconte à partir du mardi soir ! (nooooon ?)

En fait, y a pas eu grand chose de neuf sous le soleil -ou plutot devrais-je dire la pluie- avant jeudi.
Mardi soir : bibliothèque. J'ai passé mon temps à emprunter une pile de bouquin, sous le regard heureux de ma bibliothéquaire préférée qui ne m'avait plus vu depuis un bon mois.
Mercredi : Pas grand chose... Pc tout l'aprem chez bonne-maman.

Jeudi, ça devient intéréssant. On apprend que quelques profs seront absents vendredi, pour cause de grêve. Par malheur, la prof de maths est fidèle au poste -je me demande parfois ce que j'ai fait pour mériter un sort pareil.
Au soir, ennui profond, comme d'hab.
Et pi vendredi. Jour béni de grève, où nous avons passé trois heures à l'étude, juste parce que quelques profs sont partis à Bruxelles faire les fous dans la manif. Je visualise trop le tableau. Imaginez une respectable prof de Français (même si un peu décolletée) peinte en rouge ou en vert, en train de hurler devant le ministère des finances. Je trouve le truc trop tordant. Ah oui, et on a aussi appris que le prof de Grec, toujours lui, avait du patienter quelques longues années avant d'apprendre à écrire le mot "intérêt" correctement. Si on a des profs analphabêtes maintenant, où va le monde ?

Samedi, Vacances. Et aussi grand jour des élections du conseil communal des jeunes (où je suis candidate) du bled où je zone.
Résultat des courses, 6h à poireauter au bureau de vote, pour en finale me prendre le choux avec un immigré Italien, qui voulait que je me barre du bureau de vote, même si je ne disais rien. Bref, une heure plus tard, l'organisateur du truc débarquait avec un journaliste, et j'ai eu droit à une interview en règles. Sur Vivacité, c'est pas très glorieux, mais c'est déjà ça ! *prend la pose*
Puis dans l'aprem, grand évènement : je suis sortie de chez moi sans mes parents pour la première fois depuis... trèèèèès longtemps, à vrai dire.
A Charleroi, avec Séverine, une autre candidate du conseil des jeunes. J'ai acheté un mangas (Chobits, que je regarde sur MCM de temps en temps) et une super tasse vache pour maman. Et qui que je croise en ville ? Allez, devinez... Mister TC, accompagné de sa copine. Le prof m'a dit bonjour, mais y m'a fallu quelques secondes pour percuter et pour répondre lol.
Severine : "C'est qui celui-là ?"
Marie : "Mon prof de Grec"
Severine : "T'en as de la chance, il est canoooooon !"
Comme quoi, toutes les nanas sont du même avis. Pauvre mister, quand même, aussi.

Retour at home, et lecture à la messe. Premier retour à l'église depuis le mois de juin dernier. Et retour à la maison après ma lecture, pour cause de papa dans le cake.
Puis, comme j'étais privée de pc pour la journée à cause de 10-minutes-pour-en-descendre vendredi soir, j'ai entamé mon manga. Le pire, c'est quand même de lire à l'envers, vu qu'on tourne les pages de gauche à droite et qu'on lit les cases de droite à gauche, tout en lisant le texte de gauche à droite. Chuis en forme aujourd'hui, y a pas à dire.

Puis dimanche, marche à pieds au matin. Dix kilomètre, ce qui donne quatre cloches aux pieds. Ca fait bobo, vous pouvez me croire. Et la coiffeuse est venue après-midi à la maison, ce qui fait que j'ai refait des mèches rouges. Je suis rerousse ! niark niark niark.
Journée haute en couleurs : cheveux rouges, cloches jaunes (boerk), fin de manga en noir et blanc.
C'est d'un joyeux.

Et pi lundi. Arrivée de Bruno au matin, en fanfare. J'ai passé mon aprem à faire des crêpes pour le dessert du soir, ce qui fait que je me suis brûlée deux fois. Puis courses, où j'ai acheté de la glace, du coulis de chocolat et un Oui-Oui en peluche (parlant, s'il vous plaît !) pour Bruno. Pour ceux qui sont pas au courant, Bruno est le fiston de Cécile, une de mes deux soeurs. Un petit garçonnet de deux ans et demi, et au caractère aussi insupportable que le mien ; on s'entend à merveille.
Soirée en compagnie de bonne-maman and papa-maman, autour de mon chef-d'oeuvre crêpier accompagné de glace met coulis de chocolat. Que celui qui n'a jamais eu un faible pour un dessert me jette la première pierre.

Et au soir aussi, visionnage d'un reportage sur une école privée en Suisse. Reportage étant axé sur un gars pourri-gâté étudiant dans ma school l'année passée ; le monde est petit. Toujours est-il que le gars en question est toujours aussi mal coiffé et désagréable.

Et aujourd'hui matin, glandouillage devant la téloche. Bonheur jubilatoire.
Je sais pas si vous vous rendez compte, mais vous venez de lire une demi-heure d'écriture acharnée, puisqu'il est maintenant 14h03.
Et tout ça rien que pour vous, mes nouilles.

Y a pas à dire, je vous aime.

Marie.
PS : j'essayerai d'écrire ce soir.

25 octobre 2005

Journée de lundi et journée de mardi... Désolée du retard, j'avais pas envie.

Salut vous !

Comment ça a été, ces deux jours ? (Je sais, je pose des questions auxquelles personne ne répond. Si vous avez envie que j'arrète de me casser toute seule, tapez 1.)

Alors... Ma journée de lundi.

Pas grand chose en journée... Cours de Grec et cours d'Anglais, ça s'arrète là.
Quoique... En cours de gym, c'était bien la galère. Javelot + ping pong = dégâts dans l'air. Pas besoin d'être douée en maths pour pouvoir le dire. En effet, je suis en danger public dans ces deux matières, surtout en ping-pong (!). Par contre, je sens que la nouvelle devise de Sara va devenir bientôt "Vers l'infini et au delààààààààs !!!", vu le nombre de mètres que parcourt son javelot en un seul lancer. De quoi en faire des jalouses, je vous jure, c'est trop déprimant. Quand le mien retombe à trente centimètres, le sien est à trois mètres. Pour donner une idée de proportion. Pas grâveuh, en ping pong, on est à un niveau pas très brillant ni l'une ni l'autre. Peut-être elle un peu plus que moi mais... si peu. De toute façon, pour les points, je me rattrappe en Anglais, comme avec tout d'ailleurs. Si vous aviez pas encore compris que l'Anglais est mon dada, je peux plus rien faire pour vous, c'est désespéré.

Ah oui, et aussi !... Pendant le moment sacré et bénit qu'est le temps de midi, je retrouvai mes hyènes adorées, et nous nous dirigeâmes vers le self, nom bizarre de la cantine dans notre bizarre école. Et ô surprise, on nous avait volé notre table. J'entends par "volé" non pas que quelqu'un y était assis, mais bien qu'elle avait disparu de l'horizon. Bizarre, vous avez dit bizarre ?
Comme nous étions prem's, nous avons squatté la table des Réthos-Derrière-Nous-d'-Habitude, qui se sont installés derrière nous, comme d'habitude. Si quelqu'un à réussi à capter quelque chose de ce... cette chose, il a une médaille. Avec "Je suis un champion de déchiffrement de délires de cinglées on-line, mais je ne mords pas" gravé dessus. Mignon, n'est-ce pas ?
Bon, je reviens à mes lainidés.
Nous sommes confortablement installées, à cinq sur une table de quatre (normalement). Nous, c'est Moi, Marine, Titi, Sara et Wendy. Quand, bien sûr, Julien débarque, forçant Marine à se décaler. Mais elle ne veut pas, n'ayant pas le courage de bouger ; notez, j'aurais fait de même. Donc le Julien, qu'est-ce qu'il fait ? Ben il pousse Marine, quelle question. Mais vu d'ici (ici, c'est le reste de la table), en se battant, c'était limite si ils ne donnaient pas l'impression de se tripoter sous la table. C'était d'un frais, je vous jure.

Soit. Ils font encore ce qu'ils veulent, ça ne nous regarde pas. Quoique, je préférerais qu'ils évitent, parce qu'à table, c'est pas toujours joyeux.

Après, on a eu un aprem plutôt calme, Anglais (vouiiiiii !) et je sais plus quoi.

Puis cours de Théâtre. Je sais pas si je vous avais dit, mais je fais du théâtre. Ca me permet de lâcher mes délires, sans que je me sente jugée, sans qu'il y ait de critique. C'est pas comme d'habitude. C'est différent (oui, il faut vraiment que j'aille me coucher, je sais. Et je me suis ENCORE cassée toute seule.).
Là, je retrouve Cécile, Damien, Antoine, et Véra (la prof). Mais il survient un évènement auquel je ne m'attendais pas. Par respect pour la personne, je n'en parlerai pas, ça ne regarde personne. Toujours est-il que nous avons fini l'atelier à trois, en buvant un jus de pomme-cerises (délicieux). La conversation à dévié sur l'alcool que nous aimons, et j'ai la joie de vous annoncer que les garçons et moi sommes très sérieusement imbibés. Antoine aime le whisky, Damien la vodka (ben vi... l'est polonais) et moi j'aime... un peu tout, en fait. Le Cointreau, surtout. Ensuite, choses sérieuses. Impro, mais seul. Berk berk et reberk.
Thème un peu tiré par les cheveux, aussi : "Vous avez pondu un oeuf, vous, être humain. Pourquoi ? A cause de quoi ? Qu'est-ce qui en sort ?" Oh. My.God.
Antoine s'y colle, puis Damien. J'ai beaucoup rit.  Et puis c'est à mon tour. Horreur. Je mets mon chapeau, je rentre en scène, et je joue. Délivrance. Et je parviens à sortir une histoire comme quoi, à cause du fait que j'aurais mangé une dame blanche aux souris en gomme la veille, j'aurais pondu un oeuf en chocolat, contenant un chat en chocolat, que je mets au frigo. Et pi, je me rassied sur ma chaise sans terminer mon impro, parce que je boude. Et je boude parce qu'Antoine parle à Véra pendant que je joue, et qu'elle m'interrompt tout le temps. Résultat des courses, on termine mon impro. Je dis on, vu qu'on l'a terminée à trois. Chacun avec son oeuf. Je défend furieusement mon frigo, que les gus veulent ouvrir pour dévorer mon chat tout cru. Un mini-Antoine sort de l'oeuf d'Antoine. Un dinosaure sort de l'oeuf de Damien. Un jour, je crois qu'on fera une commande groupée de camisoles de force.
Ah vi, j'ai aussi été investie d'une mission, dont je ne peux pas parler non plus, mais que j'ai menée à bien ! Niark niark niark.

Puis, arrivée sur l'ordi. Ô joie. Et bondissage sur les hyènes, pour une fois que c'est pas elles qui me bondissent dessus. Et grande discute, je vous dis pas, c'était à s'endormir sur place. Mais c'est là que j'ai accompli ma mission, mine de rien. Moi être grande futée, quand moi vouloir, mais moi devoir vouloir beaucoup.
Et pi rododo. Très ro, le dodo, même. Pour tout vous dire, je suis une marmotte.

Mardi est une autre histoire, qui arrive dans les trente secondes.

Lever. Toujours le même rituel, sauf que cette fois, c'est de bonne humeur : on a qu'une demi-journée de cours !!! HYIIIIPEEEEE !!!

Rien de très intéréssant en journée, peut-être mise à part le cours de Grec (quoi "Encore ?"?!), où nos avons découvert la mysoginéité (ça se dit ???) de notre cher mr TC. (et non pas TB, comme je me gourre souvent)
En effet, il nous a expliqué le fonctionnement de l'armée Spartiate et de l'armée Athénienne. Jusque là, tout va bien. Et puis, nous avons innocemment demandé, comme les hommes et les femmes spartiates étaient égaux à la guerre, si les femmes pouvaient être général(e)s.
La réponse fut goujate, pour nous pauvres petites du sexe faible (chuis pas sûre que ce soit si faible que ça, mais bon).
"Faut pas pousser, non plus !"
Grrrr. Alors en plus, l'Infâme nous avait donné une préparation (à cause de laquelle Sassou se fout de ma poire depuis deux jours, parce que j'ai cherché vingt minutes après un ***** de nom propre qui était dans le fond du bouquin) alors que nous n'avions rien à faire. Comme vous pouvez le constater, le prof est toujours aussi mignon, mais je suis bien plus enragée à cause de lui. Et vous remarquerez qu'aujourd'hui plus qu'un autre jour, je suis aussi enragée sur les parenthèses. (Hein oui ?!)

Après midi : je rentre à peine à la maison, que maman me saute dessus pour un truc encore indéterminé à l'heure actuelle. Et j'imagine que ça restera indéterminé, vu que je me suis barrée, avant d'avoir à subir d'autres zinnes du même genre (pour les non-wallons : zinne=pétage de plomb)
J'ai été chez ma marraine, ou du moins à son travail, qui est tout près, au centre d'assistance sociale. J'aime beaucoup ma marraine, elle est très sympa, et on a de longues discussions toutes les deux. Elle critique tout ce qui passe à sa portée et qui ne lui plaît pas, elle fume comme une cheminée, mais je l'adore. Et elle me donne des tuyaux pour apprendre mieux l'Anglais. ^___^

Puis retour maison, devoirs (Anglais (miam) et Néérlandais) pouis pc, bien sûuuuur !
Et écriture, de surcroît. C'est pas beau, ça ?

Voilà où j'en suis, après discussion assidue avec voisin et copines du conseil des jeunes du bled ou j'habite.
Passionnant. Mais pourkouah que le voisin veut me piquer ma collectiooooonnn ? Sniiiif. Y veut collectionner les mangas. Pô juste. (oui, je sais, je viens de pèter un cable. Oui, vous savez, c'est normal, je sais.)
Tout ça pour en arriver à la conclusion que... mon voisin est un copieur. Et que je collectionne les images manga, aussi, mais c'est moins grave.

Sur ce, bonne soirée à tous !

Marie, qui ferait bien de regagner sa couette au plus vite sous peine de pertes de neurones importantes.

PS : Y a un piti lien "Commentaires", juste lààà... A bon entendeur, salut !

23 octobre 2005

Insinuations...

Juste pour vous signaler que je décline toute responsabilité dans ce que j'écris. J'entre quasi en transe dans ces moments là, lol.

Donc ne vous inquiètez pas, la plupart du temps mon état mental est proche de la normalité.

Enfin, un peu, quoi...

Et une dernière chose : Je ne tolère pas les sous-entendus douteux à propos de garçons, comme mon voisin ou le rétho mignon... C'est la seule chose lol.
Avis à celles qui se sentent viséééééeuh...

23 octobre 2005

Journée de dimanche... Pas grand chose à dire.

Salutations, mes nouillettes chéries !

Hier soir, j'ai noyé mon ennui dans la limonade... Ce qui fait qu'à huit heures du matin, donc à l'aurore pour moi, j'étais debout, aux toilettes. Et j'ai pas réussi à me rendormir, comme de bien entendu.
Je me suis donc levée, avec grognements à l'appui, pour aller reposer la partie popotinière de mon être dans le divan, devant les aventures d'Excalibur. Joli petit dessin animé, d'ailleurs. Mais mieux que Winnie l'Ourson, on trouve plus.

Après cet intermède bien sympatique, passons aux choses sérieuse : je m'habille, et fonce sur le pc. Comme de bien entendu, ma Sassounette (étant aussi accro que mon à l'ordinateur) me bondit dessus pour une longue conversation à propos de mon blog (ici présent). Mais la Sassou n'a qu'une envie : foncer dans son bain. Ce qui fait que je ne la revois pas avant cinq heures et demie de l'aprem. Je pense que le canard en plastique à tiré la bonde et qu'il a fallut quatre heures pour qu'elle arrive à remonter, mais ce n'est qu'une théorie.

Pendant ce temps là, j'ai fait des choses bien intéréssantes, tout en discutant avec Titi. Exemple : Discuter avec Titi (nooon ?) de la Table derrière aux temps de midi (vous savez, le rétho mignon, là...?) => "T'es jaloooouuuuseuh ?" En effet, elle me soutient mordicus que je suis jalouse de quiconque approche le gus en question. Non mais. Mais je lisais, aussi. Un jour il faudra que je vous parle de ce que je lis. Ca va faire rire beaucoup de monde, je crois. Ca a entraîné nottamment des "Mais pourquoi tu riiiiiiiis ?" et des "C'est quoi l'histoire ? Allez, racooooonte !".

Je vous passe les détails.

Et puis, retour de la Miss-Anglish'potins, du fin fond de sa canalisation. Et groooos délire sur le sondage "Quel est votre top trois des mecs les plus mignons vivant sur cette planète ?"

Ay Caramba.
Je vote pour Daniel Radcliffe (Sexy 'Ry... Euh non, Harry James Potter au cinéma) à tout les coups, puis pour les abdos de Matt Pokora (j'aime pas trop sa tronche, mais bon...) et enfin pour Joel Madden (LE chanteur du groupe de rock Good Charlotte). Arf. *Baaaaaave*

Puis mangeailles. Miam.
Et enfin, retour à l'heure présente où je me prends la tête à essayer de causer aux deux Sara en même temps... Ca donne : "Sara... euh non, Sara. Mais non, pas toi, l'autre !" et autres trucs du style.

Sur ce, je crois que je vais pas tarder à regagner ma douce couette.

A la prochaine, mes nouilles !

Marie

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23 octobre 2005

Journée de samedi

Salut les nouilles ! Comment ça va bien ?

Moi ça va super. Je vous raconte ma journée de samedi, si vous êtes prèts à la lire !!!

Réveil, tout d'abord, c'est normal. Au son du chant des petits zoziaux, pour changer un peu du "Debout !" maternel. Vous ne pouvez pas savoir à quel point ça fait du bien. Pour petit déj, dans le fauteuil, devant Winnie l'Ourson (ben quouaaaaa ???). C'est bon les céréales au chocolat.
Ensuite, vers 10h et demie, je regarde ma liste de devoirs. Et je constate, enfer et damnation, qu'elle ne contient... que des maths ! Je suis maudite.
J'entame donc avec joie, bonheur et déprime le joyeux chapitre que forment les innombrables exercices d'écriture scientifique. Comme si on avait que ça a foutre, franchement.
Et puis, je bondis d'allégresse jusqu'à mon (ma) ordinateur préféré(e). Et je tombe sur quiiii ?

...

Tout ceux qui ont répondu Sassounette... ont tout faux. Elle était au badminton bande de pigeons !!!!
Oui, je sais, je suis méchante. Bon reprenons nos moutons avant qu'ils ne se barrent...

Je tombe donc sur Géraldine, ma Lyonaise préférée. Je dirais même plus, vénérée. C'est ma correspondante, je ne pense pas vous en avoir déjà parlé. Et ma confidente aussi, ainsi qu'une des personne les plus douées en écriture que je connaisse. Et aussi une des personne les plus gentilles que je connaisse. (Sassou, on ne proteste pas, toi, t'es sadique. Mais gentille aussi lol)
Donc, je discute avec miss Cacahuète (joli pseudo, hein ?), jusqu'à ce que je parte manger. C'est un déchirement. Sniiiiiiifeuh.

Pour l'après-midi, je décide d'entraîner papa-maman à faire du shopping. Et je crois qu'ils ne comprendront jamais le pourquoi, ni la joie de la chose. Maman se fixe un objectif (exemple ici : veste pour fille chérie), et n'en démord pas jusqu'à ce qu'elle trouve, sans rien regarder d'autre et passant de ce fait à côté d'une montagne de trucs hyper intéressants. Papa, lui, ne rentre même pas dans les boutiques, pour cause d'allergie aux parfums d'ambiance. Donc, veste et chapeau achetés, nous sommes sur la route pour rentrer. Quand soudain, ô évènement important, le portable de papa sonne. Nous sursautâmes.

C'était mon voisin. Une belle énergumène aussi, celui là. Il veut que je l'aide à faire son site internet, qu'il détruit systématiquement dès qu'il y touche. J'ai omis de dire que c'était aussi un sacré menteur. C'est très important pour la suite. Je me rends donc chez mon voisin, le coeur rempli d'une allégresse sans nom (hum.).
Et je m'attaque au site ! Pendant ce temps là, Voisin joue à un jeu débile sur sa playstation. (C'est bien, pour une fois on a échappé aux sous-entendus foireux de son père)

Et la conversation dévie, à cause du fait qu'il m'entende parle à quelqu'un sur MSN. Et il me demande, avec sa délicatesse habituelle : "Franchement, si la personne avec qui tu parles est ton copain... Ah mais oui c'est vrai. T'as un copain, ou personne veut toujours de toi ?"
Et je lui ai rétorqué que c'était pas de ma faute s'il ne se trouvait pas de copine (ce à quoi il a répondu qu'il en avait plusieurs... mon oeil) et que j'avais un copain (ce qui est totalement faux aussi, mais il le sait pas lol)
Vous auriez vu sa tête s'allonger !!! Trop excellent.

Ensuite, souper d'anniversaire chez amis de la famille. Et ennui total, de 18h à minuit et demie. Puis dodo, chez mon pote Morphée...

Ca fait du bieeeeeeen.

Merci de lire, mes nouilles.
Je vous aime.

Marie

PS : J'attire votre attention que c'est la première fois que je ne parle pas du prof de Grec pendant une journée. Applaudissements s'il vous plaît !

23 octobre 2005

Soirée de vendredi... Ou "Les folles en congé". Très explosif.

Bijour tout le monde !!!!
Comme promis, ma soirée de vendredi. Le très explosif (à prononcer avec une patate chaude dans la bouche).

Pour commencer en beauté, les parents regardaient la débilité la plus profonde de ce monde, j'ai nommé la Starac. Et vi, même à la cinquième édition (je crois) ils ne s'en lassent pas. L'esprit paternel est parfois compliqué... Comment un être que j'admire si profondément pour sa sagesse informatique peut-il être accro à un truc pareil ?! Ça me dépasse. Enfin soit. Je disais donc... Papa regardait avidement le petit écran, maman dormait devant le petit écran, le chat dormait sur le petit écran (aquarium) et le chien... dormait sur les genoux de maman devant le petit écran. Dans tout ce beau monde, il y a au moins trois personnes ayant eu le bon sens de sombrer dans l'inconscience, évitant ainsi la destruction de quelques neurones.

Pendant ce temps, là, j'étais, comme d'habitude, accroché à mon petit écran à moi, j'ai nommé Cocotte (ou Titine), mon ordinateur. Ou devrais-je plutôt dire "ma" ordinateur, vu l'esprit de sadisme et de contrariété qu'elle a développé. Non, je n'ai rien contre les femmes, j'en suis une. Et toc. Je constate, juste.
Et je discutais bien sur avec Sassounette, qui était trèèèèèès contrariés que ses commentaires aient décidé de prendre la poudre d'escampette au lieu d'atterrir sur mon blog. C'est l'intention qui compte.
Nous nous sommes donc consacrées à une activité saine (oui, enfin bon... plus saine que la Starac, quoi), c'est à dire chercher sur le site de l'Université de Louvain. Chercher quoi, ça, je suppose que vous pourriez deviner, même en étant incultes. Mais ouiiiiii ! Vous avez tapé dans le mille. Une photo du prof de Grec. Franchement, vous êtes trop forts, mes nouilles. (nouveau nom des lecteurs : les nouilles. Très poétique, niet waar ?)
Pendant ce temps là, l'autre Sara (et vi, il y a deux hyènes homonymes), que j'appellerai Titi, pour qu'on s'y retrouve, avait décidé de m'ennuyer. Ce qu'elle n'est jamais parvenue à faire. Je vous explique :

En fait, il y a un gars que je trouve mignon, qui est en rétho à l'école et qui mange tout les jours à la table derrière nous. Et donc Titi, à qui j'ai eu le malheur d'en parler (ou plutôt, à qui Sara a eu le malheur de raconter ça... ça se paye cash.) à décidé que j'étais amoureuse du gars. Or, pas du tout. Et elle a passé son temps à persuader le gus de lui envoyer une photo de lui en train d'embrasser sa copine, espérant me faire pèter un câble. Et elle a raté son coup, donc elle est faaaaachée. La pauvre, si j'avais le temps je la plaindrais.

Je continue ma soirée coolos au micro avec une de mes folles préférées, quand soudain Wendy, une autre hyène, m'envoie de l'anglais pour que je lui traduise. Ni une, ni deux, j'empoigne mon dico, et je lui traduis ça en 30 secondes chrono. Elle m'explique qu'elle discute avec une fille habitant en Angleterre. Ok. Génial. Le blème, c'est qu'elle capte au grand maximum cinq mots de la langue de Sheakspeare. Donc je traduis, je traduis. Et puis, ça devient... Hum. Louche.
Style : "J'aimerais t'embrasser", "J'aimerais avoir une petite amie" etc. Et c'est une fille. J'ai rien contre, chacun fait ce qu'il veut, mais je connais le penchant de Wen pour les beaux garçons, donc je m'étonne. Et me rends compte que Wen est toute aussi étonnée que moi.
Quand soudain...

...

...

Maman m'appelle pour venir manger le dessert. Ooooh déséspération profonde, je ne connaîtrai pas la suite de l'histoire (vi, j'aime les potins). Je descend, et j'avale mon dessert dans les cinq secondes, prétextant une allergie chronique à la Starac. Pour peu, je simule le malaise, et reviens, hors d'haleine, vers ma Cocotte. Manque de bol, l'anglaise c'est barrée. Sniff, j'aurai plus d'anglais à traduire.

Sur ce, déçue, je ressors mon IiiiiiiiiIIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiii une dernière fois à Sassounette et je vais rejoindre le pays de mon pote Morphée.

Bonne nuit les petits !
Je vous adore, nouilles courageuses ayant eu le courage de lire jusqu'ici.

Marie

21 octobre 2005

Les mouches

Ca s'était quand même un sacré souvenir, les mouches. Les pauvres, quand j'y repense, quand même.

Petite explication du phénomène :
Il était une fois dans notre classe de l'année passée... deux énergumènes nommés Pikachu et Putois, plus habituellement appellés les PP (en fait, habituellement, c'est "inventé tout de suite maintenant" lol)
Les PP, donc, avaient un joyeux passe-temps, étant constitué de meurtres et de moqueries (j'en étais moi même une cible de premier choix... les moqueries, bien sûr, pas les meurtres).
Les meurtres étaient plutot dirigés vers les mouches habitant sagement notre local. Elles étaient sauvagement décapitées à coup de latte. J'en reçu même une dans le pantalon. Pas de latte, bien sûr.
Et puis il y eu la goutte faisant déborder le vase : ils ont attaché une mouche sur la carrelage de la classe à l'aide de papier collant ! C'est alors que la sauveuse de l'humanité, j'ai nommé Sara, décida de réagir. Elle s'attaqua au moins puant des deux, lui flanquant des coups de plumier dans la tête. Le plumier en question (paix à son âme et à celle de tous les objets se trouvant à l'intérieur) fit grand effet, et le mouchicide s'arrêta aussi brusquement qu'il avait commencé.

C'est pas grâce, les deux allumés de la cervelle n'en avaient pas pour autant fini avec nos pauvres nerfs. Comme Saint Plumier était en grande partie responsable de leur défaîte, il lancèrent une campagne sournoise afin de faire tomber celui-çi dans la déchéance. Et s'est ainsi que le plumier Sauveur fut projeté sur les murs du local à la vitesse vertigineuse de cinq millimètres par heure. Le Putois ne savait pas lancer.

Et la sauveuse de l'humanité enterra dignement son plumier dans son cartable, essayant de stopper le flot d'encre qui s'écoulait des plaies béantes de son stylo. La revanche ne tarda pas :

Le Pikachu ayant fait chier son mode,
surtout les pauvres blondes,
se trouva fort dépourvu
quand le temps de midi fut venu !
Il alla crier famine chez Sara sa voisine.
Mais la sauveuse est rancunière,
Et de surcroît très fière !
"Ah vous m'ennuyiez !
Eh bien crevez, maintenant !"

Moralité : Foutez la paix aux blondes et à leur plumier,
Si a midi vous voulez bouffer !

(Explication : Pika n'avait pas assez de fric pour se payer à bouffer, et Sara était la seule à avoir de quoi lui prêter ! Le pigeon, quand même...)

21 octobre 2005

Journée de vendredi

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Je me suis encore réveillée, fraîche et dispose (boooof...), pour une nouvelle journée d'emm... pardon, de cours. Et je suis partie en voiture avec mon pôpa rejoindre mes vénérées HD (cf. jeudi et mercredi).

Meilleur début de journée de la semaine : Grec. Avec Mister TB (Tablettes de Chocolat, pour ceux qui suivent pas).
Joie. Et correction des interros, aussi, où Miss-potins-d'Anglais m'a battu d'un minuscule point à cause de mon stupide trou de mémoire. Enfin, ça ne pouvait lui faire que du bien, vu qu'elle m'avait fait un caca nerveux au micro la veille. Soit. Et on a aussi vu la démocratie d'Athènes. Vous auriez vu la passionnance (ça se dit ?) du prof pour ce sujet !!! C'est vraiment un passionné.

Et puis Anglais. Extase à l'état pur. (vous verrez, je copie beaucoup les pubs. Vous connaissez Adieu photocopieuse ?) Je passe, vu que je dois sérieux vous barber avec mon anglishounet (mot directement inventé par moi, cherchez pas).
Et bien sûr Histoire. Là, je vous avais promis de vous raconter quelque chose. Et je vais le faire, je tiens mes promesses (sauf quand on oublie de me rappeller que je dois les tenir, c'est une autre histoire.).
Donc, mon passe-temps favoris en cours d'histoire, c'est de jouer la débile profonde avec le remplaçant, qui était déjà mon prof l'année dernière. En fait, ma prof légitime est malade (=> enceinte), et c'est monsieur Canon. Qui, à côté de Mister TB, n'a rien à lui envier. J'explique. Mr Canon est son opposé parfait : la trentaine dégarnie, les dents en avant (et bien jaunes de surcroît), ne changeant de pull que tout les six mois environ, et postillonnant évidemment. Et j'adore me foutre de lui sans qu'il s'en rende compte, c'est d'un jouissance... Vous ne pouvez pas imaginer.
Et au cours passé, je lui ai demandé comment il épellait "les civilisations grecques", pensant qu'il me capterait, vu que ma réputation d'intello me suit malheureusement partout. Eh bien non, et il lui a fallu dix minutes pour me répondre ! Je jubilais, littéralement, je vous jure.

Le cours suivant, par contre, je le hais. Gym. Boeurk, boeurk et reboeurk. J'ai juste fait une légère crise de panique en haut d'un engin de torture qu'on ose appeller barre asymétriques - J'ai un vertige incontrôlable.
Puis Religion, le retour en force de "Qui suis-je". A en croire les documents, nous sommes tous des anges qui travaillent dur pour la paix dans le monde. Mon oeil.

Temps de midiiiiiiii ! Dégustation de tartines écrasées, sous l'oeil attentif des Hd, dont une griffonnant un dessin sensé représenter une île avec des palmiers. A vrai dire, on aurait dit que les palmiers étaient plantés dans le soleil. Passons. Bref, ambiance d'eeeeeenfer.

Français apportant avec lui les grand dialogues du cinéma...Français (nooooon ?!), j'ai pu rêvasser tout mon saoûl. Je pensais aux feuilles tombant par la fenêtre, à l'automne, à mon anniversaire... Stop and rewind. Mon anniversaire. Dans un mois, presque. Help me, les Hd préparent un gage. J'espère que Miss-Anglish's-potins va être reconnaissante des devoirs "prêtés" l'année passée, et qu'elle va au moins minimiser le massacre. Please. Save my soul. (ça, c'est un appel du pied de chez appel du pied... Si tu comprends pas, t'as un grooooos problème mdr)

Et enfin les maths. Calvaire et cauchemard réunis, ma chère et tendre prof, madame B-bégaye. D'une sympathie profonde, aussi profonde que la flaque de trois millimètres dans la cour. Par contre, je vous jure que mon ennui, lui, est profond.

Et je suis maintenant délivrée du bagne, avec joie et bonheur. En vitesse, câlin à mon chattounnet d'amour en sucre d'orge, et bond littéral vers le pc. Mon coeur. Et je retrouve évidemment ma Sassounette, et ma Marinette. Mes hyènes, pas très déchaînées pour l'instant, surtout Marine qui, pour cause de chute dans escaliers de salle de gym, est retombée en phase "gros bébé à doudouiller".
Graaaaaande discussion philosophique avec Sara suite au départ du poupon, sur le thème de... Allez, devinez ! Mais oui ! Bravo aux grands gagnants : LE PROF DE GREC !!!

J'en suis là de ma journée, je vous tiens au courant.
Félicitations à ceux qui ont eu le courage de lire jusqu'ici.
Je vous aime.
Marie

21 octobre 2005

Journée de jeudi

Une fois de plus, réveil. Oh tortuuuuureuh. Petit déj équilibré, comme d'hab, puis je m'en va à la school, tête dans les nuages et semelles de plomb (ça allonge la silhouette, je ne sais pas si vous saviez).
Arrivée chez les hyènes, limite en retard, toujours vêtue de Saint Pantacourt (avec un pull au dessus, évidemment, c'était pas non plus le musée des horreurs).

Début des cours, oh joie. Cours de sciences, avec une prof aussi bien fringuée que sympathique (bref, pas du tout, ni l'un ni l'autre). Compositions de forces, c'est le nom de la chose inutile qu'on essaye de faire rentrer dans nos petites têtes surchargées.
Cours de Religion, là, c'est une autre histoire. "Qui suis-je ?", thème nébuleux. Et même très nébuleux. La question du jour : Qu'évoque pour vous un arbre dont le dessus évoque un village ? Réponse de mon cru : un village dont le dessous évoque un arbre, quelle question !
Cours de Grec : Le retour en force des tablettes de chocolat de notre vénéré prof. Qui a une sublime chemise limite trop courte. Et j'apprends un cours plus tard que j'ai loupé l'évènement du siècle : L'élastique de son boxer dépassait, et j'ai rien vu !!!!
*trop dégoutée*
Petit détail amusant : il est vraiment grec jusqu'au bout du caleçon, vu que la marque, je vous le donne en mille, c'était bien sûr... ATHENA !!!! :D

Cours de Néérlandais, avec le retour en force de Bernadette. Et de la conjugaison, ce qui est nettement moins drôle. (j'ai oublié de préciser que Bernadette, c'est le nom de la prof. Je sais, je suis parfois difficile à suivre.) Je pense avoir encore été béate devant mon tableau noir chéri, mais je suis pas sûre, cette fois... Et tout cas, je sais que j'étais très concentrée sur la manière dont j'allais faire l'imbécile le lendemain en cours d'Histoire. C'est un de mes passe-temps favoris, je vous explique ça plus tard.
Et puis le cours de maths, qui bat tout les recors au niveau ennui. Je vous raconte même pas, le résumé est barbant en lui-même. J'ai juste à dire que j'adore écouter les mouches voler sans qu'un imbécile les écrase. (Petite réminiscence de l'année passée : Il y avait dans ma classe deux débiles profonds qui passaient leur temps à couper les mouches en deux. Oh délicatesse.)

Et enfin, temps de midi (à 12h50, précisons). Allah est grand, y a pas à dire. Retrouvailles avec mes chéries (et chéris, pas de favoritisme), j'ai nommé les HD (hyènes déchaînées en plus court).
Et graaaande rigolade, si bien que je ne sens plus mon diaphragme. Sujet du jour : pourquoi Marine rigole-t-elle comme une malade dès qu'on lui dit le mot "chaussette", "spaghetti" ou "ornitorinque" ? Cela reste un grand mystère obscur. Et puis COURS D'ANGLAIS !!!! ouéééééééé !!!! C'était l'explosion de joie. On a une prof géniale (même si habillée zarbi), un cours génial, et le temps de discuter. I like English !
Et pi Français... Grrrr. J'aime ça, d'habitude, mais bon. Molière, un peu ça va, beaucoup, c'est trop.

Moi retour maison. Enfin. Bizou au chat en passant, puis attaque aux devoirs. Ca aussi, c'est joyeux, vu que j'avais deux exercices de maths plus du français et de l'histoire à faire.
Une demie heure plus tard, j'atterris en douceur sur mon ordinateur (enfin, devant, on se comprend)
Et Sara me bondit encore dessus pour se foutre de moi par rapport au fait que j'aie louppé l'évènement du siècle (cf. ci-dessus, la fuite caleçoniènne du prof de Grec). Et je lui sort mon rire spécial hyène, qui ressemble un chtit peu à ça : IIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiIIIIIIIiiiiiiiIIIIIiiiii !
Et tout ça sans respirer, avouez que ça force l'admiration, non ?

Et sur cette discussion réjouissante, je suis partie me doucher, puis dormir (plus sous la douche, évidemment, dans mon lit), avec mon chat comme doudou (mignon, hein ?!) et mon super pijama snoopy.

Je vous passe les détails.

Un petit commentaire, peut-être... ?
Bisous
Marie

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